- Puis surtout, on dit la crise, mais moi, jsuis pas d'accord, vous savez pourquoi ? [Bernard]- On s'en fout [voix du public]- Eh beh, parce qu'il y a plusieurs crises : les crises de foie, les crises de nerf et pour finir au cimetière, les chrysanthèmes [Bernard]- Il est gentil le toutou [voix du public]- Tiens Bernard, tu peux passer le hareng pomme à l'huile ? [une serveuse]
- Pourquoi tous les bronzés que je connais, ils traitent leurs femmes comme de l'eau de chiotte [Monsieur White]- Eh ben, moi je te parie que ces même bronzés, tu les voit jouer au crack en public mais à la maison, leurs pouffiasses, elles les envoient chier. [Monsieur Pink]
- Appolo croit en toi, moi aussi, mais tu dois le vouloir de toutes tes forces, et non pas à cause de Mickey, ni pour le public, ni pour le titre, ni pour l'argent ou pour moi, mais pour toi. Pour toi Rocky, pour toi seul. [Adrian] - Et si jsuis battu ? [Rocky Balboa]- Et bien , tu seras battu mais au moins, tu seras battu sans excuse, sans peur et tu continues à vivre. [Adrian]
- Merci à tous pour votre soutien !!! [Sing]- C'est les femmes de ménages ! [Tête de fer] - (claque sur le visage) Et alors ?? ça peut devenir des fans ! Je te salue public !!! [Sing]- C'est fini ce boucan ? [Femme de ménage]
En arrivant dans la cité de Dieu, on esperait trouver le paradis. Plusieurs familles s'étaient retrouver sans abris, il y avait eu des inondations, et plusieurs incendies criminels dans les favellas. La clique du gouvernement ne rigolait pas, quelqu'un n'avait pas de toit ? On l'envoyait dans la cité de Dieu, là il n'y avait pas d'électricité, pas de rues pavés, pas de transport public mais pour le gouvernement des riches, nos problèmes n'avaient aucune importance. La cité de Dieu, ça n'était pas une carte postale de Rio de Janeiro. [Buscapé]
Le rire est une expression fréquente du chagrin. [Evan au public]
Ce soir, mes larmes sont devenues des poings. [Evan au public]